Je vous cache pas qu'en ce moment, c'est vraiment laborieux de travailler, la motivation ne suivant pas vraiment...
3 commentaires:
Anonyme
a dit…
éh bé alors, c'est quoi cette tête? Il est où le bel enthousiasme sur les surprises des muscles fessiers et l'incroyable deltoïde? allez va, le creux de la vague, c'est pour mieux toucher les étoiles ensuite! Tu n'as pas dû manger assez de chocolat pour Pâques et maintenant tu en paies le prix; c'est bien pensé figure-toi : goinfre-toi de chocolat snans scrupules et tu auras des idées qui pullulent! biz
Tiens, c'est marrant, moi aussi mon écran est surélevé par un dictionnaire. Il s'agit bien d'un dictionnaire Louis ?...
Attends, j'ouvre le mien : ancienne monnaie d'or, frappée à l'effigie du roi de France. Avec une telle définition comment se fait-il que tu sois en panne d'inspiration !?...
Ton talent vaut de l'or, ne le monnaie pas, il est ton roi. Mais bon, il devrait te frapper de temps en temps pour fustiger ton manque de motivation. Ne t'inquiète pas mon petit Louis, ça va revenir.
Et n'oublie jamais : "Le travail rend libre !". Et travailler plus, ça rend plus libre ? Ou est-ce l'inverse ?
J'avance ces idées pour en débattre... Si on ne parle pas des Rois de France et d'identité nationale, du talent inné de Louis qui dort, de l'acquisition de dictionnaire, d'inspiration, de motivation, de travail, de liberté, d'un slogan du début des années 40, alors, on ne parle de rien... Ce n'est pas ça une campagne "blogale" !?... J'dis ça, j'dis rien.
Je me permets d'apporter quelques réserves à la prescription d'EJ car je doute que tu trouves, Louis, l'inspiration dans une tablette de chocolat. A moins bien sur qu'il ne s'agisse d'une tablette "merveille du monde" et que tu sois en train de plancher sur un dessin d'animal sauvage. Ce remède était peut être souverain à l'époque où le Louis avait cours et où tes glorieux ancètres se la coulaient douce dans leurs chateaux, mais, de nos jours, la faculté a démontré que le chocolat n'avait d'autre vertu que d'être délicieux. Et je sais de quoi je parle car j'ai la chance de partager la vie d'une chocoolique notoire, d'une passionara du chocolat noir. Bref, laisse tomber les oeufs et va te promener une demie heure dans ce beau quartier qui est le tien. Tu trouveras sans doute l'inspiration à l'angle d'une rue sous la forme d'une vieille dame amusante ou d'une connasse qui téléphone. Depuis quelques temps, je croise à l'aube, en allant bosser (oui, je vais bosser très tot, non, je ne suis pas sarkoolique), un petit vieux qui promène son chien en lui tenant des propos ignobles, d'un racisme et d'une violence qui ne laissent pas d'étonner chez un aussi petit bonhomme. Du coup, je l'ai pris en photo en me disant qu'un homme qui avait une telle haine en lui devait être photogénique (en fait non. Peut être qu'il rendrait mieux en dessin ?)
3 commentaires:
éh bé alors, c'est quoi cette tête? Il est où le bel enthousiasme sur les surprises des muscles fessiers et l'incroyable deltoïde?
allez va, le creux de la vague, c'est pour mieux toucher les étoiles ensuite! Tu n'as pas dû manger assez de chocolat pour Pâques et maintenant tu en paies le prix; c'est bien pensé figure-toi : goinfre-toi de chocolat snans scrupules et tu auras des idées qui pullulent! biz
Tiens, c'est marrant, moi aussi mon écran est surélevé par un dictionnaire.
Il s'agit bien d'un dictionnaire Louis ?...
Attends, j'ouvre le mien : ancienne monnaie d'or, frappée à l'effigie du roi de France.
Avec une telle définition comment se fait-il que tu sois en panne d'inspiration !?...
Ton talent vaut de l'or, ne le monnaie pas, il est ton roi.
Mais bon, il devrait te frapper de temps en temps pour fustiger ton manque de motivation.
Ne t'inquiète pas mon petit Louis, ça va revenir.
Et n'oublie jamais : "Le travail rend libre !".
Et travailler plus, ça rend plus libre ?
Ou est-ce l'inverse ?
J'avance ces idées pour en débattre... Si on ne parle pas des Rois de France et d'identité nationale, du talent inné de Louis qui dort, de l'acquisition de dictionnaire, d'inspiration, de motivation, de travail, de liberté, d'un slogan du début des années 40, alors, on ne parle de rien... Ce n'est pas ça une campagne "blogale" !?... J'dis ça, j'dis rien.
Bonjour Louis, Hello EJ,
salut Lu,
Je me permets d'apporter quelques réserves à la prescription d'EJ car je doute que tu trouves, Louis, l'inspiration dans une tablette de chocolat. A moins bien sur qu'il ne s'agisse d'une tablette "merveille du monde" et que tu sois en train de plancher sur un dessin d'animal sauvage. Ce remède était peut être souverain à l'époque où le Louis avait cours et où tes glorieux ancètres se la coulaient douce dans leurs chateaux, mais, de nos jours, la faculté a démontré que le chocolat n'avait d'autre vertu que d'être délicieux. Et je sais de quoi je parle car j'ai la chance de partager la vie d'une chocoolique notoire, d'une passionara du chocolat noir.
Bref, laisse tomber les oeufs et va te promener une demie heure dans ce beau quartier qui est le tien. Tu trouveras sans doute l'inspiration à l'angle d'une rue sous la forme d'une vieille dame amusante ou d'une connasse qui téléphone. Depuis quelques temps, je croise à l'aube, en allant bosser (oui, je vais bosser très tot, non, je ne suis pas sarkoolique), un petit vieux qui promène son chien en lui tenant des propos ignobles, d'un racisme et d'une violence qui ne laissent pas d'étonner chez un aussi petit bonhomme. Du coup, je l'ai pris en photo en me disant qu'un homme qui avait une telle haine en lui devait être photogénique (en fait non. Peut être qu'il rendrait mieux en dessin ?)
Ignatus le barbu bavard.
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