Paradoxalement, ça n'a pas la longueur des étapes, l'inclinaison des côtes, le soleil qui tapait fort ou le poids des bagages qui m'a paru le plus difficile à affronter durant nos vacances à vélo...
2 commentaires:
Anonyme
a dit…
Alors, comme ça, tu te dessines avec des sacoches toutes nickel même à l'avant genre tu es allemand et tu as fait ça toute ta vie, un plan sur le guidon genre tu es allemand et tu maitrises le trajet, une tente à l'arrière genre tu es allemand et tu campais... Usurpateur... Un jour, la vérité sera rétablie...
... c'est du vécu chez moi aussi. Plus les roulades pour ne pas rester à table, la volonté d'empêcher toute sieste réparatrice (le tout pendant les vacances, sinon, ce n'est pas drôle)...ahhh, vive l'adolescence.
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Alors, comme ça, tu te dessines avec des sacoches toutes nickel même à l'avant genre tu es allemand et tu as fait ça toute ta vie, un plan sur le guidon genre tu es allemand et tu maitrises le trajet, une tente à l'arrière genre tu es allemand et tu campais... Usurpateur... Un jour, la vérité sera rétablie...
... c'est du vécu chez moi aussi. Plus les roulades pour ne pas rester à table, la volonté d'empêcher toute sieste réparatrice (le tout pendant les vacances, sinon, ce n'est pas drôle)...ahhh, vive l'adolescence.
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