vendredi 25 juin 2010

Les joies du Wayang Golek


On le sait, la vie maritale entraîne certaines obligations. Pour moi la dernière en date fut de devoir assister en entier à un spectacle de marionnettes indonésiennes (et en indonésien) sous forme d'ombre chinoise, le tout dans la banlieue d'Orléans. Il faut imaginer une douzaine de musiciens dos au public tapotant des xylophones désaccordés  (si, c'est possible) des heures durant, tandis qu'un type dans le fond martyrise des marionnettes qui ne lui ont rien fait en proférant des paroles incompréhensibles. On aurait dit une torture imaginée par le programmateur du Théâtre de la Ville devenu fou...

1 commentaire:

Camille Lapelerie a dit…

c'est marrant j'ai eu la même impression à Bali,lors d'une représentation de ce type de théâtre, c'était un spectacle insupportable, un brouhaha de percussions.

Cam